Lou Spry a une passion pour la science fiction depuis son enfance. Elle a lu bien des auteurs comme Asimov, Van Vogt, Théodore sturgeon, Frank Herbert….
Dans ces oeuvres, les humains sont quelquefois augmentés. Ils déploient souvent des pouvoirs extraordinaires qui l’a fait rêver, comme l’invisibilité, le don d’ubiquité ou la télépathie.
Dans son texte « la machine à mots », elle prend le contrepied de ces exemples et joue avec un robot poète qui ne supporte plus l’humanité qui se robotise. abreuvé par tous les réseaux et par les écrits des hommes, il rêve de devenir un nouveau Rimbaud ou Baudelaire.
Sa sensibilité est telle que les machines, selon lui, créeront à notre place toutes formes d’arts.
Une vie de recherche en photographie, en peinture, en musique, en poésie, ainsi que sa passion pour la randonnée en montagne ou la nature l’ont amené à créer pour se trouver, mieux se définir et parfois s’aimer.